- Arthur Berger
- Promo : Master 2
Compte-rendu : Dallas Buyers Club
Jeu 14 Fév - 15:29
Mercredi 13 février, se déroulait une projection cinématographique sur le thème de la vie et la mort au cinéma.
« Le film « Dallas Buyers Club » (Jean-Marc Vallée, 2013) nous ramène au milieu des années 1980, l'apogée de l'épidémie de SIDA aux États-Unis. Il est inspiré par quelqu’un dont le destin est susceptible d’intimider les scénaristes les plus imaginatifs, Ron Woodroof, interprété par Matthew McConaughey.
Le film pose de façon poignante notamment la question de savoir si les « victimes » de certaines maladies, les maladies sexuellement transmissibles en particulier, sont moralement responsables de leur propre état pathologique. Il permet aussi d’interroger le dogme de la recherche scientifique en médecine : a-t-on vraiment besoin d’une preuve scientifique définitive de l’efficacité d’un traitement dans le cas urgent, quand on a des bonnes raisons – mais pas de preuves – de penser qu’un médicament peut sauver des vies ? » (organisateurs/trices de la projection)
Basé sur une histoire vraie, suivez la reconstitution de la vie passionnante de Ron Woodroof diagnostiqué séropositif en 1985 qui déjoua les pronostiques des médecins. Le rodéo sauvage d'un homme haut en couleur, prêt à tout pour rester en vie. Le film malgré une thématique sérieuse ne laisse pas indifférent, à la fois émouvant et parfois drôle, il restera sans doute un classique pour ceux qui l'on vu, nous le conseillerons sans trop hésiter à tous, tout en nuançant le manque d'objectivité vis à vis du rôle de la FDA, notamment parce qu'elle est dépeinte en grand méchant.
N'hésitez pas à partager vos avis. Ci-joint le ppt de monsieur Jonathan Simon qui contextualise le film.
« Le film « Dallas Buyers Club » (Jean-Marc Vallée, 2013) nous ramène au milieu des années 1980, l'apogée de l'épidémie de SIDA aux États-Unis. Il est inspiré par quelqu’un dont le destin est susceptible d’intimider les scénaristes les plus imaginatifs, Ron Woodroof, interprété par Matthew McConaughey.
Le film pose de façon poignante notamment la question de savoir si les « victimes » de certaines maladies, les maladies sexuellement transmissibles en particulier, sont moralement responsables de leur propre état pathologique. Il permet aussi d’interroger le dogme de la recherche scientifique en médecine : a-t-on vraiment besoin d’une preuve scientifique définitive de l’efficacité d’un traitement dans le cas urgent, quand on a des bonnes raisons – mais pas de preuves – de penser qu’un médicament peut sauver des vies ? » (organisateurs/trices de la projection)
Basé sur une histoire vraie, suivez la reconstitution de la vie passionnante de Ron Woodroof diagnostiqué séropositif en 1985 qui déjoua les pronostiques des médecins. Le rodéo sauvage d'un homme haut en couleur, prêt à tout pour rester en vie. Le film malgré une thématique sérieuse ne laisse pas indifférent, à la fois émouvant et parfois drôle, il restera sans doute un classique pour ceux qui l'on vu, nous le conseillerons sans trop hésiter à tous, tout en nuançant le manque d'objectivité vis à vis du rôle de la FDA, notamment parce qu'elle est dépeinte en grand méchant.
N'hésitez pas à partager vos avis. Ci-joint le ppt de monsieur Jonathan Simon qui contextualise le film.
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